Ceci n’est ni une couscous party, ni un spectacle de danse orientale. On ne débattra pas de l’Orient, de l’Occident et de leur relation tumultueuse, on dansera.
La première soirée « Layali Paris » (les nuits de Paris) vous invite à vous plug-in à l’électro-arabique. Layali Paris, produit par IK – Turbulences culturelles, est une série de soirées nomades, partout dans la capitale et bientôt au-delà du périphérique.
Line-up ~
Paris-Beyrouth-Damas : Hadi Zeidan (Liban) et Yaman Suhemn (Syrie)
Shadi Khries (Jordanie)
Guido Minisky (France)
Déroulé ~
Ouverture : Shadi Khries & Guido Minisky – mix
Paris-Beyrouth-Damas- live : synthés & electronics et qanûn
Shadi Khries & Guido Minisky – live mix & percussions sur derbouka
Clôture : Shadi Khries – mix
Les artistes :
Paris – Beyrouth – Damas
«Paris-Beyrouth-Damas» est un projet de fusion entre musique traditionnelle arabe & sons électroniques. Le duo libano-syrien s’inspire des grands de la musique orientale et du Tarab tel qu’Umm Kalthoum & Abd el-Wahab pour vous offrir un registre propre à eux : l’électro brassé avec le qanûn oriental, qui transporte aisément du climat transcendant et méditatif vers une ambience une choïa plus folle et dansante où fusionnent les sons éclectiques de Hadi Zeidan (synthés & electronics) et le qanûn oriental de Yaman Suhem.
Shadi Khries
Depuis 2013 et sa rencontre avec Acid Arab, il a commencé à travailler avec Gilb’r, président du label Versatile record, sur le projet King Ghazi qu’il réalise dans le cadre d’une résidence d’artiste à la Cité des Arts Internationale de Paris. Ses compositions hypnotisantes et entraînantes sont un savant mélange de musique traditionnelle jordanienne d’où il est originaire, et de sonorités électroniques.
Guido Minisky
Aux platines du Pulp, du 9Billards, de Chez Moune, ou au sein d’Acid Arab, Guido Minisky fait briller la fusion depuis deux décennies à Paris. Entre une émission de radio et un edit (‘Sea sex and sun’ de Gainsbourg), il chine des disques du monde entier pour assouvir sa mélomanie. A force de passer des disques de musiques orientales et d’acid house, Guido décide de prouver l’évidente efficacité de ces sonorités sur les danseurs. Rave party et mariage égyptien se confondent et rencontrent l’electro chaâbi et la scène parisienne, et le succès est monstre.