Ramzy Zahoual, créateur de tableaux photographiques
Ramzy Zahoual nous a donné rendez-vous sur les hauteurs d’Alger, à la terrasse de l’hôtel Saint George, un…
Ramzy Zahoual nous a donné rendez-vous sur les hauteurs d’Alger, à la terrasse de l’hôtel Saint George, un…
A travers l’oeuvre de Mourad Krinah et son engagement, nous découvrons le Box 24 : une réelle alternative à l’art officiel, qui respire de fraîcheur, de critique et d’auto dérision
Des rangs de l’atelier photo de la fondation Dib, se sont distingués remarquablement deux jeunes réguliers; Houari Bouchnek et Arslane Bestaoui, autodidactes à l’œil vif et perspicace.
Au fur et à mesure qu’il étale ses pensées sur les murs d’Alger, Fares fait grandir un personnage, qui se retrouve aussi dans ses sculptures et qui personnifie l’algérien d’aujourd’hui.
Ce qui intéresse en effet Yasser c’est de dévoiler la laideur intérieure dans toute sa splendeur. Ses personnages sont confortablement allongés dans la graisse, ils ont les yeux fuyants et dissimulent de leur masse un pactole de pétrole et d’hypocrisie.
Pour Fayçal, du voyage à la photographie, il n’y a qu’un pas. L’inspiration d’une photo naît souvent d’un paysage brut et sauvage ou du regard d’un bédouin. Fay revient avec nous sur ses débuts et nous raconte s’être toujours amusé à prendre les photos de famille
« Seule la peinture me permet d’extirper toutes les choses qui me travaillent et que j’ai besoin de partager avec le public », Khéro n’hésite pas à afficher ses états d’âmes aux yeux du monde et ses oeuvres n’ont sont que plus fascinantes.
Après des études de cinéma, Youssef jongle entre les différentes disciplines pour toujours questionner l’existence dans un monde hanté par la pression médiatique et l’omniprésence de la violence.
Mohamed Arejdal avait pris la route la veille pour venir à notre rencontre à Casablanca. Les distances, Mohamed les connait et a toujours su les braver et les dépasser avec comme seul moteur sa passion débordante pour l’art.
Yasmine Laraqui et Zahra Sebti ne sont pas des amies et collaboratrices par hasard. Elles partagent des rêves et des combats qu’elles mènent de front et travaillent aujourd’hui sur un projet commun. Nous rencontrons Zahra à Rabat et Yasmine à Casablanca pour esquisser les contours de cette collaboration à venir.
Pour lui, l’énergie est partout dans le monde mais on ne choisit pas le bon angle pour la voir. Morran s’intéresse « au nuage de la personne », à son psychisme onirique mais il ne veut pas s’éloigner de la réalité brute et froide, de par les matières qu’il utilise : verre synthétique et métal.
Suivant son instinct qui la porte sur des sentiers inexplorés, Imane écrit, photographie puis recolle les morceaux de ce puzzle d’émotions après coup. Imane préfère donc laisser sa subjectivité s’exprimer et la décoder par la suite au lieu d’imposer une vision.
Forgées par son vécu, ses réflexions, prennent leur source dans un rapport contemplatif à l’existence qu’il estime noyé dans l’océan d’une méditation que l’on consomme comme un « pack oriental » avec son lot de yoga, hammam et autres nostalgies orientalistes.
Du village de Hjar Nhal aux beaux-arts de Séville, Yassine Chouati a rapidement fait mûrir sa pratique. Son…
Des quartiers du cœur battant de la médina, aux banlieues à l’urbanisation grouillante, Hicham observe et capture les métamorphoses aussi bien sociales qu’urbano culturelles. Son regard est celui d’un natif, avec un esthétisme qui attire l’œil mais non sans une vision profonde des sociétés qui l’entourent.