Lutfi Zayed, « diversions » et dérision
Quand nous arrivons à Amman, la discussion du moment tourne autour de l’exposition actuelle de la galerie Jacaranda…
Quand nous arrivons à Amman, la discussion du moment tourne autour de l’exposition actuelle de la galerie Jacaranda…
Nous rencontrons Ali Al Masri à Amman(Jordanie), au pied de l’escalier qui sépare Jabal Webdeih de Downtown. Le…
C’est rue Omar Ben Al Khattab, à quelques minutes de la fameuse Rainbow Street que nous retrouvons Mohamed Abd El hadi
En dévoilant la ville à travers le regard nostalgique de ses habitants et en dépoussiérant les pièces historiques qui la commémorent, la jeune fille cherche à capturer ce souvenir beyrouthin qui flotte dans l’amnésie collective.
C’est dans l’enceinte de l’Institut de Français de Beyrouth que nous donnons rendez-vous à Alfred Tarazi. Arrivés en…
L’ambivalence du sentiment que procure la vision du cheveu a inspiré Noor Haydar pour son exposition « Loose Ends » qui explore le poil, dans tous ses sens.
Les photographies artistiques de Lara Zankoul sont le fruit d’une imagination débordante et d'un sens visuel très fort, développé dès son plus jeune âge.
C’est dans son jardin perché sur les hauteurs d’une colline de Fanar, dans la banlieue de Beyrouth que…
Tenir en équilibre sur un fil tendu est la métaphore qui décrit le mieux le quotidien des syriens au Liban et ailleurs. Mohamed Khayata puise dans ce thème pour son exposition solo « Walking on thread ».
Le cinéma égyptien a longtemps été le vecteur d'une identité arabe. Du Maghreb au Machrek, des noms comme Aziza Amir, Fatma Rochdi, Leila Mourad se répétaient sur toutes les lèvres. Après la réussite du modèle du star system et des comédies musicales qui ont façonné l'imaginaire de plusieurs générations, quelles sont les mutations de ce trésors national ?
Youssef Wyte Tellah et Georges Batruni, figures montantes du street-art beyrouthin
Gudran, association pour l’art et le développement n’est plus à présenter à Alexandrie. Durant 15 années de travail…
Ammar Abou Bakr, aux bombes aérosols libératrices des méandres de la jeunesse égyptienne.
Nazir Tanbouli, artiste de toutes les générations.
L’œuvre d’Alaa Abdelhamid prend forme au fur et à mesure de l’avancement du processus créatif pour aboutir à un résultat qui, par la force de la technique et l’évolution de la pensée, concilie fond et forme.
Par un mouvement de mains et une succession de plis, un objet reconnaissable prend forme et satisfait chez celui qui le façonne, son envie créatrice. Ozoz passionné d’Origami crée le premier centre arabe dédié à cet art japonais.
Une toile recouverte s’avance vers nous, quelques mèches en l’air dépassent et nous signalent la marche en avant d’une jeune fille. Petite mais forte, Aya Tarek se dévoile. Son franc parler ajoute au charme de son sourire délicat et accroche son auditoire.
L’idée de Youssef est en effet de revaloriser l’héritage culturel de l’Egypte, où la calligraphie s’est développée et nourrie et de montrer comment la jeunesse égyptienne s’en empare aujourd’hui en y mettant du sien.