Ana Arabia. L’enclave perdue et poétique d’Amos Gitaï
Ana Arabia soutient l’idée qu’une cohabitation entre arabes et juifs est possible, voire même nécessaire.
Un avis sur les dernières sorties de films, livres, spectacles ou autres événements
Ana Arabia soutient l’idée qu’une cohabitation entre arabes et juifs est possible, voire même nécessaire.
Alireza Ghorbani vient de sortir Éperdument sous le label Accords Croisés.
Eau argentée, Syrie un autoportrait est de bon aloi, limpide, unique, mais aussi dérangeant.
L’exposition Cherchez l’erreur se prolonge jusqu’au 19 avril à l’Institut des cultures de l’islam.
Ibrahim Maalouf et Oxmo Puccino racontent une Alice moderne, un peu sombre, et délicieuse.
Two: A Bilingual Anthology est un projet qui nous rappelle la réalité duale de la région israélo-palestinienne.
Dans L’Oranais, la fiction interroge la réalité, les choix personnels ont une dimension politique.
Dans un respect de la tradition musicale orientale, Dorsaf Hamdani reprend Barbara et Fairuz, deux divas issues d’univers distincts.
L’electro chaâbi est plus qu’une simple musique, il cristallise la naissance d’un pan culturel novateur d’une jeunesse bafouée par le système politique égyptien.
Sorti sous le label lyonnais Shouka, 404, l’EP de Haydar Hamdi, nous transporte. Chronique.
My Sweet Pepper Land raconte la transition du Kurdistan, tiraillé entre une population tentée par la modernisation et une autre encore profondément traditionnelle.
Vies voisines de Mohamed Berrada dissèque un demi-siècle de la société marocaine, en abordant l’histoire de trois protagonistes.
Dans Héritage, Hiam Abbas traite d’une population dont on entend peu parler, et qui pourtant représente 20% de la société Israélienne : les Arabes d’Israël.
Moudjahidate, nos héroïnes est un hommage à l’histoire et aux femmes combattantes de la guerre d’Algérie.
Dans A World Not Ours, on découvre une nouvelle façon de voir la Palestine : à travers les yeux de ceux qui n’y ont jamais vécu, qui n’y retourneront, de toute évidence, jamais, et pour qui la cause a été perdue depuis bien longtemps.
My Land, le documentaire de Nabil Ayouch, sorti plus tôt en 2013 au Maroc, a désormais son successeur. Un web-documentaire interactif qui nous fait voyager en 14 étapes.
The Square nous plonge dans un tourbillon d’événements complexes et flous, où l’information doit toujours être prise avec des pincettes, et où l’incertitude est la seule chose qui existe vraiment.
Dans Dancing in Jaffa, le problème du conflit israélo-palestinien est triple. Accepter que l’autre existe, qu’il existe avec son histoire, et arriver à lui faire confiance.