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Jeu-concours – Mobydick et Si Simo en concert à Paris
Décrochez vos places pour les concerts de Si Simo et Mobydick les 20 et 21 février à l’IMA.
Décrochez vos places pour les concerts de Si Simo et Mobydick les 20 et 21 février à l’IMA.
Ibrahim Maalouf et Oxmo Puccino racontent une Alice moderne, un peu sombre, et délicieuse.
Connected Walls nous rappelle que 41 murs séparent encore des populations dans le monde, notamment entre le Maroc et Ceuta
Lugubres, torturés, voire un peu sinistres, les portraits et sculptures de l’artiste syrien Houmam Al Sayed ne laissentpas…
Sorti sous le label lyonnais Shouka, 404, l’EP de Haydar Hamdi, nous transporte. Chronique.
Dans Héritage, Hiam Abbas traite d’une population dont on entend peu parler, et qui pourtant représente 20% de la société Israélienne : les Arabes d’Israël.
Dans A World Not Ours, on découvre une nouvelle façon de voir la Palestine : à travers les yeux de ceux qui n’y ont jamais vécu, qui n’y retourneront, de toute évidence, jamais, et pour qui la cause a été perdue depuis bien longtemps.
Actuellement en tournée au Maroc et dans le monde arabe, le groupe Two Wooden Stones se produira le 11 avril au Cotton Club de Rabat, en partenariat avec ONORIENT pour un concert qui s’annonce mémorable.
C’est avec un grand plaisir que nous vous annonçons que la poétesse palestinienne Farah Chamma a obtenu son…
C’est une décision pour le moins incompréhensible que celle du refus opposé par les autorités marocaines à la demande de visa de la poétesse palestinienne Farah Chamma. Une bien triste attitude, au vu des dispositions de notre constitution.
De Acid Arab à Masomenos, en passant par l’inévitable Amine K, depuis Rabat, Beyrouth, Manchester ou Berlin, ONORIENTUNES #17 vous transportera au bout de la nuit, pour le plus grand plaisir de vos oreilles et de vos soirées.
Philippe Aractingi est, comme beaucoup de libanais, un enfant de la guerre. Peut-être pas la sienne, mais, comme tous, il l’a vécue, l’a intériorisée, et surtout, l’a filmée et photographiée. Comme beaucoup de libanais, il a connu l’exil
Dans l’univers des arts plastiques dans le monde arabe, on ne saurait trouver plus étrange paradoxe que le saoudien Abdulnasser Gharem. En effet, il est déjà bien assez rare de rencontrer un artiste saoudien pour le relever.
Tamara Abdul Hadi jette un regard frais et original sur le Proche-Orient, cette région dont on entend plus souvent parler pour des bombes et des guerres que pour les sourires de ceux qui y habitent.
Il s’appelle Mohamed, mais tout le monde l’appelle Hercule, en raison de sa force surhumaine. Ce petit paysan…
Il y a quelques mois, au détour d’une conversation avec un ami, et alors que la polémique bat son plein sur la petite culotte de Jessie J…
Après l’ouverture en force du festival Jazz au Chellah avec Oum en point d’orgue, c’est avec le plus…
L’ouverture du Jazz au Chellah est toujours un moment particulier. Et cette année plus encore. Ceux qui ont…