En attendant les hirondelles : quel nouveau visage pour le cinéma algérien ?
L’Algérie portée à l’écran est spectaculaire, froide et au rythme de l’adagio, elle est d’abord lenteur. En attendant les hirondelles de Karim Moussaoui défigure les images d’Epinal, il en affadie les couleurs et de fait en accentue les lignes de force