Farah Chamma n’est plus à présenter. Poétesse d’origine Palestinienne aux milliers de vues sur Youtube, elle représente le nouveau souffle de la poésie arabe.
Nous l’avions découverte à travers son poème « La Nationalité » qu’elle avait déclamé avec des mots tranchants, parfois sanglants. Un texte qui nous a fait hérisser le poil tant sa force et sa délicatesse se marièrent pour nous faire vivre de nouvelles sensations.
La poétesse qui, du haut de ses 22 printemps, nous livre une performance en arabe d’abord, puis en anglais et finit par nous surprendre avec un troisième titre en français.
Accompagnée au Oud, par son partenaire Salam Ismail, elle parait un peu plus hésitante pour ce dernier titre, mais très vite le ton monte et les reproches à la société moderne aussi.
Ces textes ne sont rien, mais ça peut être tout. Ces textes ne sont rien, alors ça peut être vous.